Des réglementations établies bien avant le concept de la maison écologique

Bien avant de parler de maison écologique, la France a pris conscience de l’importance de construire des bâtiments respectueux de l’environnement. La loi n°2009-967 du 3 août 2009 constitue les prémices d’une réglementation qui s’est précisée trois années plus tard. En clair, ce cadre légal prévoit la généralisation des bâtiments de basse consommation en énergie ou BBC. En quelque sorte, toutes les maisons construites en France depuis l’été 2009 devraient être théoriquement écologiques.

L’obligation de se plier à la fameuse RT2012

La RT2012 se considère comme la bible de la construction respectueuse de l’environnement dans l’Hexagone. Il s’agit de la réglementation thermique qui impose des normes à respecter en matière de consommation d’énergie. Elle s’accompagne également de recommandation en matière d’isolation et de chauffage. Actuellement, les maisons qui ont été construites avant cette loi doivent faire des ajustements. Les propriétaires reçoivent un bonus fiscal pour les encourager à rendre leurs maisons plus écologiques.

La démarche pour la construction des bâtiments écologiques

Dans le cas où vous envisagez de construire une maison écologique, sachez que la démarche reste pratiquement la même qu’avec les bâtiments classiques. Cela commence par l’établissement du plan d’occupation du sol. Par la suite, vous devez également vous conformer au plan local d’urbanisme. En d’autres termes, vous devez suivre les directives de la collectivité, quel que soit le type de matériaux que vous utilisez pour la construction de votre bâtiment.

Quand on veut acheter un produit bio, on se prépare généralement, à l’acheter cher et plus onéreux qu’un produit normal, du même type. En effet, selon les analyses, un produit issu de l’agriculture biologique est 30% plus cher qu’un autre qui provient de l’agriculture et du circuit conventionnel. On pense que cela est dû à une demande de plus en plus forte sur les produits bios, mais il existe également d’autres raisons qui augmentent le prix de ces produits.

Les différentes raisons du surcoût des produits bios

Lorsqu’on veut du bio, le système et le processus de production en entier sont bousculés et doivent respecter des cahiers des charges précis. De ce fait, le temps de production peut devenir plus long et demande plus de mains d’œuvre. En effet, on ne pourra plus utiliser des désherbants chimiques, cela ce fait de manière mécanique. Il en sera de même pour l’engrais dont le compost et le système de compostage seront privilégiés, plutôt que les engrais chimiques. On donnera également plus de soin et de traitement naturel que ce soit pour les animaux ou les plantes, etc. Concernant la main d’œuvre, toutes les étapes de production demandent plus de personnes à engager pour soigner à la main la culture. Une culture qui aura également besoin de plus de place et d’aération, mais aussi, de lumière solaire pour bien se développer. Exit donc, le système de production de masse qu’on a dans les serres. Par ailleurs, on peut noter que dans le système de production, la gestion du sol oblige l’agriculteur à assurer la rotation des cultures. Il devra aussi entretenir le sol et les plantes, à travers la production de jachères et maintenir un habitat qui permet aux animaux de vivre librement et au grand air. Tout ceci, demande des démarches non conventionnelles loin des productions de masse et des cultures intensives des industries modernes. On notera aussi que dans tout ce processus, les moyens utilisés sont chers, mais le rendement est moins dense que dans les élevages et les cultures intensives. Ce rendement qui sera limité, est aussi causé par la carence constatée chez les plantes étant donné qu’elles ne vivent que des éléments apportés par la terre, sans compléments de nutriments chimiques, comme avec l’agriculture intensive. La culture peut aussi être attaquée par des parasites étant donné qu’on ne doit pas asperger de pesticides sur la culture.

Les autres raisons de surcout sur les produits bios

Mise à part le processus de production, on notera aussi que les produits bios demandent un contrôle continu et strict dans toutes les étapes de production, de transformation et de distribution. Cela augmente également, le prix. Il y a aussi la certification et la labellisation des produits, qui demandent la mobilisation d’organismes spécialisés. Cependant, cette démarche est essentielle et assumée par les producteurs et les intermédiaires concernés dans la mise en vente du produit. Et ceci, même si les procédures de certification et de labellisation impactent sur le prix final du produit. Ensuite, il y a aussi la représentativité de l’exploitation du bio sur le marché de la consommation en générale, mais aussi, dans le monde agricole. L’offre est encore très limitée alors qu’on a de plus en plus de demandes. Cette offre limitée s’explique par les obligations et le respect des normes exigées dans la production des produits bios. Elle s’explique également par la difficulté chez certains agriculteurs et producteurs, et même distributeurs, à assumer la production et la gestion des produits bios qui demandent un circuit et des étapes à contrôler avec minutie. Et enfin, on notera aussi que malgré les bénéfices perçus, la filière bio n’est pas très bien soutenue par le pouvoir public. Les agriculteurs manquent souvent de moyen financier pour étaler et assurer la pérennité de leurs actions et activités.

Les produits cosmétiques sont souvent sujets à des controverses. En effet, ce sont des produits dont les composés peuvent être très chimiques qu’ils peuvent altérer la qualité et la santé de la peau ou de l’organisme. Pour éviter l’utilisation de ces produits pas sûrs, il existe actuellement sur le marché, des produits cosmétiques qui sont bios. Mais là encore, il est nécessaire de bien faire son choix pour éviter de se tromper dans la qualité du produit cosmétique.

Les principales questions à se poser avant l’achat

Avant d’acheter un produit cosmétique bio, la première question à se poser est de savoir le type de cosmétique dont vous aurez besoin. Il peut en effet, s’agir d’un produit de soin pour les cheveux ou bien seulement du shampoing. On peut aussi avoir besoin d’un produit de soin de la peau ou seulement, du visage. Vous pouvez aussi avoir besoin d’un produit pour homme, pour femme, pour enfant ou pour un bébé. Tout cela entre dans les critères à prendre en compte avant de se lancer dans le choix d’un produit cosmétique bio. À noter également, que même les produits de maquillage entre dans cette catégorie. Une fois que vous aurez défini ce besoin, il faut faire le tour et se mettre en connaissance des marques qui proposent des produits en bio. Dans ce cas, le choix peut être vite fait s’il n’y a pas trop de concurrences dans la catégorie ou la gamme de produit que vous recherchez. Si ce n’est pas le cas et que plusieurs offres se trouvent devant vous, le mieux serait de s’informer sur les forums et sur les sites web de chaque produit. On peut aussi fouiner un peu sur l’étiquette du produit pour voir les principes actifs contenus dans le flacon ou la boite, d’identifier les possibles agents allergènes et de faire le choix selon le besoin de votre organisme. N’hésitez pas à demander des conseils aux vendeurs si cela s’avère nécessaire. La seconde question à se poser c’est le budget à allouer sur le produit. On peut avoir différents types de produit et une large gamme de cosmétique bio, à tous les prix, sur les rayons des magasins spécialisés. Mais il est recommandé de faire un raisonnement de budget à allouer en fonction du volume de produit à acheter, et de la fréquence d’utilisation. Cela vous permettra de prévoir combien de temps le flacon va se vider et si cela est intéressant par rapport au budget que vous prévoyez.

Les avantages apportés par le produit et le choix de la marque

Quand on choisit un cosmétique bio, il est également utile de connaitre les avantages que chaque produit peut vous apporter. En effet, il est possible que vous soyez au devant de deux voire 3 produits du même type et que vous ne sachiez pas quoi choisir. Il sera donc, essentiel de connaitre précisément en amont, le type d’avantage que vous recherchez sur le produit à acheter. Il est possible dans ce cas, que pour un crème de visage, vous en choisissez un qui permet plus l’hydratation de la peau que l’effet sur le long terme. On peut aussi choisir un shampoing qui permet de renforcer les boucles au lieu d’un qui défrise, même si les caractéristiques nourrissantes sur les deux produits sont les mêmes. En somme, vous devez voir et analyser bien en profondeur les vertus que chaque produit. Dans tous les cas, il faut éviter les produits cosmétiques qui se vantent de proposer des vertus complets. C’est-à-dire, à la fois matifiant, hydratant, qui tient sur une longue période, etc. Il vaut mieux avoir un produit avec un seul bénéfice qui sera plus efficace et qui ne risque pas d’avoir des composés chimiques, et non bios. Et enfin, la marque peut aussi influencer votre achat. Cependant, si vous débutez dans l’achat d’un cosmétique bio, ce ne sera pas évident. En premier lieu, vous devez donc, vous informer s’il y a des vertus et des composés qui démarquent les produits d’une marque, et qui vous intéressent. Il est possible également, que vous soyez attiré par le packaging d’une marque particulière ou les actions sociales qu’elle véhicule. On peut aussi choisir la marque selon le type de label apposé sur son étiquette. Tout cela peut vous amener à choisir une marque, mais ce sera à vous de définir vos propres critères de choix.

Les étiquettes références du Cosmébio

Tous les produits cosmétiques ne peuvent pas prétendre à la mention Cosmébio. Pour pouvoir bénéficier de cette référence, il est nécessaire de respecter au moins l’un de ces trois étiquettes. La première étant le respect de la charte bio. Dans ce cas, on devra retrouver un minimum de 95 % d’ingrédients naturels qui font la composition du produit. On considèrera également, que l’eau qui le compose, mais aussi, les éléments minéraux dans le produit, sont des ingrédients naturels et donc, bios. On devra aussi retrouver des éléments végétaux dans le flacon. Ils doivent également avoir une teneur de 95 % parmi les composants de plantes naturelles. Ensuite, il y a l’étiquette Cosmos Nat. Elle demande à ce que les produits pétrochimiques soient des plus limités possibles dans les composants du produit. La totalité des ingrédients naturels devra donc, être à une teneur de 95 % minimum dans le flacon. Et enfin, on a aussi l’étiquette Cosmos Organic. Comme le Cosmos Nat, on doit retrouver un minimum de 95 % d’ingrédients naturels dans le produit. Ils peuvent comprendre dans ce cas, des éléments végétaux, mais aussi, de produits issus du lait ainsi qu’un peut de cire d’abeille. Les composants constatant l’origine pétrochimiques des éléments doivent être très minimes ou inexistants. Et enfin, si on retrouve des ingrédients minéraux dans le flacon, ils ne doivent pas dépasser les 10% étant donné que ces derniers ne se cultivent pas et ne sont donc pas, bio, même s’ils sont naturels, dans le cas de ce type de label.

Les garanties sur ces labels Cosmébio

Les mentions Cosmébio sur un produit sont synonymes de beaucoup d’avantages. Et cela, concerne non seulement son usage, mais également, le respect du caractère bio durant tout le cycle de vie du cosmétique. En effet, le bio permet de définir que les matières premières utilisées sont sans risques et proviennent de produits qui respectent l’environnement et la production éthique. Le processus de production n’est pas des moindres dans ce respect étant donné que la transformation se fait de manière douce. Ce qui permet de limiter les impacts négatifs sur l’environnement et de maitriser le cout de production en évitant l’utilisation d’agents polluants. Il en est de même pour la mise en emballage du produit et son packaging, ainsi que son système de stockage et de distribution. Tout cela, en respectant l’environnement. Et enfin, même la communication sera responsable et évite les impacts néfastes sur la nature et le caractère bio des ingrédients. Concernant le contrôle des produits bios et pour que les garanties soient respecter, il existe un cahier des charges stricts qui a été établis selon les règles Cosmos. Il a été mis sur le marché depuis janvier 2017. De nos jours, à travers le monde, plus de 4000 marques sont respectueuses de ce cahier des charges dont Cosmébio fait partie des concepteurs.

Pour éviter d’acheter très chers les aliments bios, comme les fruits et légumes, on peut parfaitement se lancer dans la production des besoins de sa petite famille en créant un potager. Cependant, avoir une vraie culture bio demande des sacrifices et un vrai potager qui respecte la nature et la santé. Comment s’y prendre dans ce cas, et réussir à concevoir un vrai potager bio ?

Pensez d’abord au sol

La première étape à suivre pour avoir un potager bio, c’est de bien préparer le sol qui recevra la culture. Pour ce faire, il est nécessaire de ne pas utiliser des produits chimiques dans la préparation. L’objectif étant d’avoir un sol sain et pérenne. Les produits chimiques peuvent aussi infecter les légumes et impacter votre santé. En premier lieu dans ce cas, analysez d’abord la qualité du sol. Définissez son niveau de PH et les éléments nutritifs dont il dispose. Il serait préférable d’avoir un sol bien argileux et limoneux pour cela. Ensuite, nourrissez votre sol de culture avec le bon engrais. Le compost sera parfait pour ce faire. Il permet de nourrir le sol, sans détériorer les éléments nutritifs, les bactéries bénéfiques et les constituants du sol, contrairement à un engrais chimique. Pour fabriquer votre compost, tracez un petit coin sur le terrain du potager, pour faire cuire les déchets destinés à devenir du compost. Vous pouvez dans ce cas, utiliser toutes sortes de détritus, mais en alternant les déchets secs et humides dans la composition des éléments pour le compostage. Vous pouvez même intégrer dans les déchets à composter, des excréments d’animaux qui ne feront qu’accélérer le processus de compostage. Une fois tout ceci bien composé, renfermez et retournez de temps en temps tout en arrosant légèrement, pour bien faire cuir les éléments et accélérer le processus de dégradation et de décomposition des matières. Vous pourrez alors, sortir votre compost 6 mois après et l’utiliser pour votre culture.

Choisissez les bons plants et nourrissez vos plantes et le sol

L’étape suivant consiste à bien choisir les plants que vous allez cultiver sur votre potager. Pour ce faire, vous devez voir le niveau de luminosité sur ce dernier. Il existe en effet, des plantes qui apprécient et qui ont besoin de lumière solaire et d’autres, non. Le choix doit donc, se faire en fonction de ce niveau de luminosité. Il sera aussi question de la qualité de votre sol ainsi que sa forme, permettant un bon drainage ou non. Dans tous les cas, il est essentiel de bien planter vos plantes en évitant qu’elles soient victimes des agressions extérieures que ce soit par une trop forte action du soleil, du vent ou même des animaux qui peuvent roder autour et piétiner les jeunes plants. Vous devez aussi savoir identifier les semis bios chez les magasins spécialisés. Vous n’aurez pas un potager bio si les semis ont subi des traitements chimiques avant d’être mis en paquet. L’idéal serait dans ce cas, d’acheter vos semis chez un fermier qui pratique également la culture bio. Une fois les plants obtenus, étalez un petit peu de compost sur chaque plant avant d’arroser. Vous devez prendre du temps pour l’arrosage et le désherbage que ce soit pour des légumes ou des fruits. Autrement, le développement des plantes ne sera pas parfait. Si vous n’avez pas le temps, préférez des plants et des légumes résistants. Les tomates et les courgettes peuvent pousser sans avoir besoin de trop d’entretien. Vous n’aurez qu’à prendre soin de votre potager une fois par semaine, dans ce cas.

Manger bio, ça n’a que du bon. En effet, même par son nom, la consommation bio nous permet de manger des aliments biologique, venant directement de la nature et respectueux de l’environnement. On ne peut donc, pas s’en priver. Cependant, avant de s’y lancer, il faut détailler les apports et les bénéfices qu’apporte ce type de consommation qui est devenu un véritable style de vie et une culture chez certaines personnes.

Évitez d’ingurgiter des pesticides et soyez plus sain dans votre consommation

Le principal avantage dans la consommation bio, c’est que vous pouvez manger plus sainement. Les produits bios sont beaucoup plus riches en nutriments et vous apportent un maximum de vitamines, de protéines et de sels minéraux. Pas besoin de prendre des compléments alimentaires dans ce cas, vous aurez des aliments surs et biologiques qui pourront vous apporter les nutriments et la calorie dont vous aurez besoin au quotidien. Par ailleurs, vous aurez aussi une bonne teneur en antioxydants dans les aliments bios, mais aussi, des micronutriments comme le fer, le zinc et même le cuivre, à des quantités qui seront adaptées à votre organisme et son développement. Vous trouverez également dans les viandes bios, une meilleure qualité de fibre, de protéine et d’acide aminé comme l’oméga 3. Tout ceci est bénéfique, mais vous ne risquez également, pas de contracter des produits cancérigènes avec des produits bios. En effet, ce sont des aliments qui n’ont pas été traités avec des pesticides, qui s’offrent à vous. Selon les rapport de l’OMS et du FAO, les nourritures bios qui respectent le processus de production de l’agriculture bio possèdent des taux de nitrate acceptables et sans dangers pour l’organisme. Mais aussi, on ne trouve aucune trace de pesticide et de produits cancérigènes dans ces produits.

Consommez de la nourriture plus savoureuse tout en respectant l’environnement

Mise à part les apports en nutriments que nous donnent les aliments bios, ces derniers sont également plus gouteux et plus savoureux. Ceci est possible étant donné qu’on se permet d’acheter des fruits et légumes plus frais et parce que ces derniers sont cueillis localement, avec l’agriculture bio. Aucun produit conservateur ne passe par ces aliments bios, ce qui permet d’avoir un gout plus prononcé et plus agréable en bouche. On se permet également de manger des fruits et légumes qui sont cueillis et récoltés à leur maturité. Ce qui n’est pas le cas pour les fruits et légumes non bios et qui peuvent provenir d’un pays lointain. Par ailleurs, le gout est aussi apporté par la teneur en luminosité solaire qui impacte directement sur la culture bio. Tout le processus naturel de production de ces derniers améliorent et renforcent leur gout et leur saveur. Ce processus est également respectueux de l’environnement. En évitant d’utiliser des engrais chimiques, le cultivateurs épargne le sol et évite qu’il ne soit détérioré par les éléments chimiques. Cela évite aussi d’impacter la qualité des eaux sous-terraines, et l’émanation de gaz ou de vapeurs polluantes dans l’atmosphère. En consommant bio, vous aurez aussi une action plus responsable qui pousse les agriculteurs à opter pour l’agriculture biologique.

Les autres avantages de la consommation bio

Si on protège l’environnement à travers la consommation bio, on protège également notre planète et on pense à l’avenir de nos enfants. Par ailleurs, cela permet aussi de miser sur la qualité des produits au lieu de la quantité, qui impactera sur les habitudes de production des agriculteurs. Outre ce point, on dit souvent que le bio est plus cher. Ce qui n’est pas toujours vrai. On peut consommer gratuitement des produits bios qu’on cultive nous même dans le jardin. C’est gratuit et sain. Et si on achète dans les réseaux certifiés, on est sûr de consommer sainement surtout si le produit est apposé de la mention AB ou agriculture bio. Dans ce cas, on sera sûr qu’au moins, 95 % des ingrédients dans le produit respectent le caractère biologique et l’environnement. Et enfin, cela permet aussi d’éviter de consommer des organismes génétiquement modifiés qui sont sources de cancer et de maladies en tout genre.

Manger bio, c’est s’alimenter de manière responsable. Cependant, si vous aviez l’habitude de manger des aliments qui ne sont pas sains et pas bios, il est toujours difficile de passer le cap. Pour la période de transition, si vous avez décidé de passer par la consommation d’aliments bios, voici nos conseils pour choisir les bons produits.

Pourquoi et comment s’alimenter bio ?

Une alimentation bio veut dire, dans un premier temps, manger de manière responsable. Cela veut dire aussi qu’on opte pour la consommation d’aliments sains et qu’on choisit de se procurer des avantages et des bénéfices que ces aliments sains procurent à notre organisme. Manger responsable ou manger bio est donc, une manière de consommer qui permet d’éviter d’ingérer des substances toxiques apportées par les pesticides et autres, durant le processus de transformation, de production et même de culture, d’un aliment. Cependant, il n’est pas toujours facile de connaitre quels sont les aliments bios qui respectent le processus de production et de commercialisation bio. Il sera donc, essentiel de prendre en compte 3 critères avant de se lancer dans ce type de consommation. Dans ce cas et en premier lieu, il faut connaitre l’origine du produit. Cela demande à analyser le circuit de sa distribution. Plus le produit limite le nombre de ses intermédiaires, plus le risque est moindre, donc, le critère bio est respecté. Ensuite, il faudra s’informer sur les conditions de production et de conditionnement du produit. Préférez dans ce cas, un produit qui ne vient pas de très loin et qui se vend sans emballage. Souvent, les produits qui viennent d’autres pays sont traités avec des agents conservateurs pour qu’ils puissent garder leur fraicheur. Et enfin, il faut prendre en compte, l’aspect respectueux de l’environnement du produit. Informez-vous dans ce cas, et assurez-vous que le circuit de distribution est écologique et que le produit ne provient pas d’une grande usine pollueuse.

C’est quoi la bio supermarché

Il est également possible qu’on achète des aliments bios dans un supermarché. En effet, vu l’engouement des consommateurs dans les produits bios, les supermarchés se sont aussi lancés dans leur vente. Parmi les marques proposées par les supermarchés et qui permettent de percevoir les critères bio qu’on a stipulés en haut, il y a entre autre, la marque Cœur de Nature qui est distribuée spécialement par Auchan. Il y a aussi les produits de la marque Naturalia chez Monoprix ainsi que Carrefour Bio pour le supermarché Carrefour. Cependant, il faut savoir que ces marques et les produits bios dans les supermarchés sont souvent très chers. Cela, parce que les enseignes perçoivent une marge très importante sur ces produits qui sont très en vogue. Il faut aussi savoir que si les produits vraiment bios qui sont produits par les petits producteurs subissent des contrôles sur les marchandises qu’ils vendent, dans les supermarchés, ce sont les grands groupes eux-mêmes qui font la production des produits bios et qui s’assurent de leur contrôle. Il n’est donc, pas sure que le processus de production bio soit respecté dans ces grands magasins. Il faut de ce fait, faire attention et choisir si possible, des produits venant des petits agriculteurs.

Achetez chez les coopératives

Le bon choix de produits bios reste l’achat au sein des magasins de coopératives d’agriculteurs. Il existe un peu plus de 260 magasins de coopérative bio actuellement, rien que pour La Vie Claire sur tout le territoire français, en plus des 450 enseignes de Biocoop. Ces deux enseignes mettent en valeur des produits de terroir et des aliments locaux. Mais à la différence que Biocoop permet à ses magasins de s’approvisionner dans 4 points à travers toute la France, tandis que La Vie Claire effectue l’approvisionnement après une procédure de commande dans des centrales qui vendent des produits locaux. On notera aussi que Biocoop vend plus de produits des régions où les enseignes sont implantées et beaucoup moins de produits concurrents. Et le tout, géré par un collège qui prend des décisions communes chez Biocoop, si La Vie Claire fonctionne avec un circuit de distribution et de gestion normal.

Aspect sécurité : le bio est meilleur !

Les cosmétiques bio sont fabriqués à partir de produits naturels ne présentant aucun danger pour la santé. En revanche, ceux dits classiques ou conventionnels contiennent des produits issus de l’industrie pétrochimique. Contrairement aux ingrédients naturels, ces ingrédients chimiques ont, sur le long terme, des effets néfastes sur la peau. Ils bouchent les tissus cutanés et empêchent la peau de respirer.

Aspect efficacité : les deux se valent

Les cosmétiques classiques ainsi que les cosmétiques bio sont tous les deux efficaces. En revanche, il faut noter que le bio, ne contenant pas de produits chimiques est plus lent à agir. Certains produits ne produisent également pas les mêmes résultats qu’un produit classique. Un gel douche bio peut par exemple être moins moussant qu’un gel classique, mais il sera plus doux et moins irritant. Pour obtenir des résultats rapides, utilisez des produits cosmétiques bio testés pour leur efficacité. Rendez-vous par exemple sur le site Stylbio.fr pour voir les 10 meilleurs cosmétiques bio. Vous y verrez toutes sortes de produits de beauté bio comme du crème soin, du shampoing, du gel moussant, du soin anti cellulite, etc.

Aspect commercial : le cosmétique classique se vend mieux

Si les produits cosmétiques classiques font encore de nombreux adeptes, c’est grâce à leur durée de conservation. En effet, les produits bio ne contiennent pas de conservateurs chimiques et peuvent détériorer avec le temps. Il est possible de conserver des produits cosmétiques bio au réfrigérateur. Mais dès que leur couleur ou leur odeur change, il ne faut plus s’en servir. Les cosmétiques conventionnels, quant à eux, se conservent très longtemps.

Investir dans une SCPI écologique

La loi ne définit pas cette catégorie-là ! Sur Scpi-8.com, vous avez une description détaillée de chaque forme de SCPI. Une SCPI écologique concentre ses efforts sur l’acquisition et l’exploitation de biens immobiliers qui ne nuisent pas à l’environnement. Les Bâtiments à énergie positives et réduction carbone font partie des ensembles immobiliers qui intéressent cette forme de SCPI. Vous comprenez maintenant pourquoi il est impératif de faire des recherches sur chaque société que vous comptez intégrer en achetant ses parts.

Des débouchés intéressants

Outre, les avantages fiscaux dont bénéficiera la SCPI, cette dernière n’aura pas grand mal à trouver des locataires aux propriétés qui lui appartiennent ainsi que des acheteurs pour les biens immobiliers qu’elle souhaite céder. C’est ce qu’on constate en ce moment, et pour encore plusieurs années, un fort engouement pour les bâtiments écologiques. Cette attirance est remarquée aussi bien pour les logements de particuliers que pour l’immobilier de bureau. En somme, l’immobilier durable a encore un bel avenir devant lui : faire l’acquisition de parts d’une SCPI écologique constitue ainsi un excellent investissement durable.

La préparation du terrain

Pour des résultats réussis, vous devez vous assurer que la terre soit parfaitement fertile. Afin de le savoir, vérifiez qu’elle soit bien de couleur marron. Celle-ci est très riche en argile et en matière organique. Outre le fait qu’elle résiste à l’humidité permettant aux plantes de se développer rapidement.
Pour une bonne aération, procédez ensuite au retournement du sol à l’aide d’une grenilette sans trop enfoncer en profondeur. Bien que cette technique soit pointée du doigt comme dépassée, elle reste la bonne méthode pour garantir la fertilité.

Les engrais à privilégier

Fini les pesticides et les engrais chimiques nuisibles à l’environnement, commencez par créer votre propre compost fait maison, une solution à la fois économique, bénéfique pour la santé et l’écologie. Une technique simple, recyclez l’ensemble de vos déchets quotidiens pour en créer des engrais. Mouchoir, papier journal, déchets de jardin…N’hésitez pas à tout ramasser et à les mettre dans le composteur pour une bonne nutrition du sol.
Autre alternative, les engrais verts qui consistent à cultiver des plantes de couverture pour la qualité du sol comme la plantation de phacélie ou sarrasin. Facile à cultiver, ils favorisent l’aération du sol et l’activité biologique. N’oubliez pas de faire la rotation de culture pour développer votre potager, qui consiste à éviter de planter des légumes de même famille deux années de suite sur la même terre au risque d’épuiser le sol et de faire propager de nombreuses maladies sur les plantes.